Des nouvelles de nos parrainés…

Nous avons le plaisir
de transmettre des nouvelles des jeunes
à qui,
parrains et marraines, 
vous avez permis de suivre des études supérieures.

  Leur insertion dans la société 
avec une vie professionnelle a été longue pour certains
mais tous remercient chaleureusement
les personnes qui les ont accompagnés :

Stéphane CHABI :
 “Une fois encore merci
à vous et à tous nos parrains et marraines
de l’association Joigny-Baobab
qui travaillent inlassablement pour notre autonomisation.
Transférez mes sincères salutations
à tous les membres de l’ association…”

    Isabelle ADIMI :
“Je remercie ma marraine.
Sachez que c’est le parrainage
qui a fait de moi une fille capable, indépendante.”

Dernièrement,
une jeune institutrice Colette,
formée à l’école de Léa a envoyé :

C’est avec une grande joie
que je vous envoie ce message
pour vous remercier de m’avoir aidée
à être ce que je suis aujourd’hui,
merci infiniment
.


VOICI QUELQUES EXEMPLES DE RÉUSSITES :

Isabelle ADIMI,
jeune amie de Joigny-Baobab
depuis son année de 4ème au CEG 1,  
parrainée pour ses études
a fini la licence en Agronomie en 2015.

Depuis elle a fait différents stages
et travaille actuellement
à l’Institut National de Recherche Agricole du Bénin (INRAB),  
à la cellule de la recherche sur l’anacardier,
 arbre dont les graines sont les noix de cajou.

Ses lieux de stage : Djougou et Dassa.

Barnabé AKPOTO
jeune ami qui n’a pas été parrainé
mais a travaillé plusieurs années avec le groupe de maraîchers
que nous avons accompagnés financièrement.

Nous lui avons fait connaître une ferme-école,
et bien qu’ayant un emploi autre,
il s’est passionné pour le maraîchage.

  Avec des économies,
il a pu acheter du terrain,
faire creuser un puits,
installer des panneaux solaires pour la pompe,
mettre en place de l’irrigation,
construire une réserve d’eau.

  C’est 4 à 5 emplois créés.

A 25 km de Parakou,
il n’a pas de problème de débouché.

 Stéphane CHABI, 
jeune parrainé en 2016
pour des études d’entreprenariat en Anglais
après une licence de biologie.

Sur deux années et 6 mois,
il a appris à travers trois projets
à monter une entreprise.

Au terme de ses études,
il a obtenu un financement
qui lui a permis d’avoir un terrain
et de démarrer du maraîchage biologique.

Les photos montrent ses cultures
dans la banlieue de Cotonou
où l’ont rejoint d’autres anciens parrainés.

Parallèlement il donne des cours d’Anglais.

 Théophile ACHADE,
devenu pépiniériste à Parakou.